"I aim to offer a quasi-clinical experience that flirts with fraudulence. Using a display that welcomes the human bodies, I seek to study individuals and collect the organic particles they leave inside the space, anticipating potential mutations. My sound and visual work is inspired by certain posthumanist theories mixed with personal narratives infused with post-soviet remains. I envision to fabricate a transitory territory, an intermediate zone that celebrates the hybridization of languages and phenomena." Maria Magdalena David
“I try to show what we don’t look at ; images that are ignored because they are too fragile, too insignificant, coming from almost forgotten obsolete technologies. I dedicated my graduation year to the revelation of a film roll found by chance, and which, when it’s unfolded, observed sideways, truncated from its initial device tells me other stories. I then search in, around this object, I wear it out to try both to « see it better » and to wake up its ghosts. I explore its empty zones, attempting to articulate the different types of language available to me so I can make it speak.” Anna Soret
<<Je propose une expérience quasi-clinique flirtant avec l'arnaque. Au moyen de dispositifs à destinations des corps, je cherche à étudier les individus et collecter leurs traces en vue de potentielles mutations. Mon travail sonore et visuel puise son inspiration dans certaines théories posthumanistes tressés avec des récits personnels imprégnés de susbtances post-soviétiques. Je crée un territoire transitoire, une zone intermédiaire qui célèbre l'hybridation des languages et des phénomènes.>> Maria Magdalena David
<<Je cherche à montrer ce qu’on ne regarde pas ; des images ignorées car trop fragiles, trop négligeables, issues de technologies obsolètes dont l’existence est aujourd’hui presque oubliée. J’ai consacré cette année de diplôme à la révélation d’une bobine de film analogique trouvée par hasard, et qui dépliée, observée de biais, tronquée de son dispositif initial me raconte d’autres histoires. Je fouille alors dans, autour de cet objet, je l’épuise pour tenter à la fois de « mieux le voir » et de réveiller ses fantômes. J'explore ses zones de vide, essayant d’articuler les différents types de langage qui s’offrent à moi pour le faire parler.>> Anna Soret
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